Yana
Posté le 31 December 2017 à 18:36 #1
Voilà, on y est les branques.
Il faut se sortir de la merde, ça n'a pas été fait hier, ça pourrait se faire demain, mais ça ne se ferra pas sans douleur. Ho que non ! Vous avez passés des semaines, des mois, sans doute même des années à vous toucher la nouille, vous rouler des patins et vous enculer joyeusement dans vos chambres richement décorées, mais maintenant, c'est l'heure de remuer tous nos culs et donner une chance à Cybertown de ne pas finir désertée.
Je me tamponne bien la moule avec le passé de la cité, ce que les gens ont vécus, l'hypothétique droit qu'ils ont à se reposer après avoir souffert. Eux aussi finiront bientôt par fuir la cité ou s'y faire congeler indéfiniment, comme les autres, il est donc hors de question que qui que ce soit demeure épargné par la politique qu'il faudra appliquer à la ville.
Et cela commence par ce que j'ai évoqué dans mon annonce d'il y a quelques temps. Les bars sont le premier lieu d'achat et de rencontre. Leur multiplicité n'est pas en adéquation avec la population en ville. La première chose à faire est on ne peut plus simple, revenir à un seul bar. Cela se ferra de manière conciliante en établissant un contrat d'aide avec un bar pour laisser crever l'autre, ou à la manière forte, en forçant la faillite des deux bars pour en ouvrir un sous le contrôle de la mairie.
Mais si cela nous apportera la possibilité de nous réunir de manière efficace, de proposer des emplois et un service client standard, ce ne sera pas suffisant. Nous devons lancer une inflation massive sur la ville.
Pourquoi ? Par ce que sur presque 23 millions de cartouches, 22 millions et demi se trouvent en banque et paralysent notre économie. Par ce qu'il est bien trop lucratif de vivre du piochage d'or jaune aussi. Par ce que être employé ne permet pas d'être financièrement tranquille. Les prix doivent uniformément grimper et les salaires avec.
Cela peut se faire avec la coopération de tous, pour le bien de Cybertown, ou il est tout à fait possible de se faire chier à créer une brigade financière composée d'un observateur et d'un tueur pour mettre au pas les profiteurs maintenant des prix bas pour tuer le projet.
Par ces deux actions, on ne peut plus simples si la mairie obtient la coopération de la population, longues et sanglantes dans l'autre cas, nous pouvons rassembler les gens et remettre l'économie en fonction, en plus de tuer les fortunes banquières de manière proportionnelle à l'inflation que nous allons causer, réduisant d'autant leur pouvoir économique sur la ville. De même, nous pourrons remettre les prospecteurs, dont je fait partie, à leur place, en les empêchant d'être des freelance capable d'amasser plus de 400 000 cartouches de bénéfice net en un seul mois de prospection intensive dans une ville où l'alimentation quotidienne coute moins de 500 cartouches.
Et lorsque l'économie aura été stabilisée, la population quotidiennement rassemblée dans le seul bar de la ville et la majorité de la ville employée paisiblement dans ses différents commerces, nous pourrons penser à reprendre un maire qui veut faire de l'exploration, lancer des projets en ingénierie, en médecine, faire des fêtes, des soirées.
Pour l'heure, nous devons redresser la cité, et je viens de vous en exposer le moyen. Si vous n'avez pas eu la force de lire ou de comprendre ce que j'ai écris, alors peut-être que vous ne devriez pas voter tout court et laisser les personnes adultes vous préparer votre bouillie avant de changer vos couches.
En revanche, si vous avez lu, si vous avez compris, alors réagissez. En public ou en privé, je m'en contrefout. Je n'ai pas envie de devoir trouver un moyen de vous soumettre tous à ma volonté, vous devez comprendre que l'heure est grave et vous sortir les doigts du cul, MAINTENANT !
Et si vous voulez voter pour quelqu'un d'autres par ce que vous ne faites pas confiance à une pute clocharde, alors ayez les couilles de dire à votre candidat de confiance "fais ça ou je vais me casser de la ville". Je n'ai rien à gagner dans tout ça, pas plus que le reste de la ville en tout cas, je me fout bien d'une quelconque gloire ou qu'on se souvienne de moi, je veux juste pouvoir vivre ici, et vivre bien, comme vous tous.
Il faut se sortir de la merde, ça n'a pas été fait hier, ça pourrait se faire demain, mais ça ne se ferra pas sans douleur. Ho que non ! Vous avez passés des semaines, des mois, sans doute même des années à vous toucher la nouille, vous rouler des patins et vous enculer joyeusement dans vos chambres richement décorées, mais maintenant, c'est l'heure de remuer tous nos culs et donner une chance à Cybertown de ne pas finir désertée.
Je me tamponne bien la moule avec le passé de la cité, ce que les gens ont vécus, l'hypothétique droit qu'ils ont à se reposer après avoir souffert. Eux aussi finiront bientôt par fuir la cité ou s'y faire congeler indéfiniment, comme les autres, il est donc hors de question que qui que ce soit demeure épargné par la politique qu'il faudra appliquer à la ville.
Et cela commence par ce que j'ai évoqué dans mon annonce d'il y a quelques temps. Les bars sont le premier lieu d'achat et de rencontre. Leur multiplicité n'est pas en adéquation avec la population en ville. La première chose à faire est on ne peut plus simple, revenir à un seul bar. Cela se ferra de manière conciliante en établissant un contrat d'aide avec un bar pour laisser crever l'autre, ou à la manière forte, en forçant la faillite des deux bars pour en ouvrir un sous le contrôle de la mairie.
Mais si cela nous apportera la possibilité de nous réunir de manière efficace, de proposer des emplois et un service client standard, ce ne sera pas suffisant. Nous devons lancer une inflation massive sur la ville.
Pourquoi ? Par ce que sur presque 23 millions de cartouches, 22 millions et demi se trouvent en banque et paralysent notre économie. Par ce qu'il est bien trop lucratif de vivre du piochage d'or jaune aussi. Par ce que être employé ne permet pas d'être financièrement tranquille. Les prix doivent uniformément grimper et les salaires avec.
Cela peut se faire avec la coopération de tous, pour le bien de Cybertown, ou il est tout à fait possible de se faire chier à créer une brigade financière composée d'un observateur et d'un tueur pour mettre au pas les profiteurs maintenant des prix bas pour tuer le projet.
Par ces deux actions, on ne peut plus simples si la mairie obtient la coopération de la population, longues et sanglantes dans l'autre cas, nous pouvons rassembler les gens et remettre l'économie en fonction, en plus de tuer les fortunes banquières de manière proportionnelle à l'inflation que nous allons causer, réduisant d'autant leur pouvoir économique sur la ville. De même, nous pourrons remettre les prospecteurs, dont je fait partie, à leur place, en les empêchant d'être des freelance capable d'amasser plus de 400 000 cartouches de bénéfice net en un seul mois de prospection intensive dans une ville où l'alimentation quotidienne coute moins de 500 cartouches.
Et lorsque l'économie aura été stabilisée, la population quotidiennement rassemblée dans le seul bar de la ville et la majorité de la ville employée paisiblement dans ses différents commerces, nous pourrons penser à reprendre un maire qui veut faire de l'exploration, lancer des projets en ingénierie, en médecine, faire des fêtes, des soirées.
Pour l'heure, nous devons redresser la cité, et je viens de vous en exposer le moyen. Si vous n'avez pas eu la force de lire ou de comprendre ce que j'ai écris, alors peut-être que vous ne devriez pas voter tout court et laisser les personnes adultes vous préparer votre bouillie avant de changer vos couches.
En revanche, si vous avez lu, si vous avez compris, alors réagissez. En public ou en privé, je m'en contrefout. Je n'ai pas envie de devoir trouver un moyen de vous soumettre tous à ma volonté, vous devez comprendre que l'heure est grave et vous sortir les doigts du cul, MAINTENANT !
Et si vous voulez voter pour quelqu'un d'autres par ce que vous ne faites pas confiance à une pute clocharde, alors ayez les couilles de dire à votre candidat de confiance "fais ça ou je vais me casser de la ville". Je n'ai rien à gagner dans tout ça, pas plus que le reste de la ville en tout cas, je me fout bien d'une quelconque gloire ou qu'on se souvienne de moi, je veux juste pouvoir vivre ici, et vivre bien, comme vous tous.