Léonie
Miss Karma
Posté le 03 September 2016 à 23:24 #1
Bonsoir,
Mon personnage s'efforce de trouver un emploi. Tout ce qu'on lui propose, ce sont des postes de vendeur, ce qui ne correspond pas à son profil, se dédiant à la sécurité informatique ou au travail de vigile. Ces profils n’intéressent personne car investir, pour des entreprises exsangues, n'est pas rentable par rapport au service rendu.
Que faire pour valoriser ces filières et, globalement, l'économie ? Rares sont les entreprises ouvertes et c'est pénible. Je pense que la fouille engendre un déséquilibre : une petite pépite équivaut à plus de 80 minutes de travail en entreprise, à 6 cartouches par minute, une grosse et c'est quatre heures !
C'est le modèle économique : je fouille et j'ouvre mon entreprise. Cela ne rime à rien. Ni clients ni embauches pour la plupart.
Plutôt que de constituer un troupeau de zombies grattant en talons aiguilles (depuis le temps qu'il creuse, il devrait y avoir un cratère), ne serait-il pas plus judicieux, et gratifiant, de soutenir des entreprises en déroute ?
En sponsorisant un emploi créé : 2 cartouches à la charge de l'employeur plus une aide de 4 cartouches pour aboutir à un salaire de 6 cartouches (par exemple). Cela permettrait de recruter, de générer des consommateurs, d'offrir des perspectives professionnelles (autre que la vente et la fouille) et de profiter de boutiques ouvertes plus souvent.
On pourrait imaginer la mise en veille aléatoire des caméras et des digicodes des entreprises, si aucun technicien n'officie, et le vol d'un pourcentage de la recette (ou la perte de stocks) si aucun vigile n'est présent. Nous sommes censés évoluer dans un monde où l’insécurité règne. Les postes liés à la sécurité ne devraient pas être des options mais des obligations.
Il existe trop d’entreprises : 33 pour une population de 56 à ce jour ! Hormis deux entreprises (une verse 5.700 et la seconde 16.000), la masse salariale des 31 autres est inférieure à 2.700 cartouches par jour, soit 11 heures de travail rémunérée à 4 cartouches ! Donc quasiment zéro emploi ! De surcroit, certains chefs d'entreprise en sont réduits à fouiller pour assumer les rémunérations de leurs collaborateurs.
Une boutique de chaque suffirait largement, pour un total d'une dizaine au maximum. Il faut rationaliser et ne pas faire de la détention d'une entreprise un caprice. Il s'agit de la jouer collectif et dans le sens du jeu. Des licences devraient être remises, pour trois mois par exemple, avec une obligation d'implication (ouverture, chiffre d'affaires, création d'emplois) sous peine de fermeture et de redistribution de la licence. Ceci induirait des chefs d’entreprise investis et méritants.
Il faut que chacun accepte de sortir de sa zone de confort. Je n’ai pas vraiment l’impression d’évoluer dans un jeu de rôle conventionnel, mais plutôt dans une bulle où se rencontrent des gens qui se connaissent depuis longtemps et qui s’aiment bien, avec leurs us et coutumes et leurs habitudes. Je suis peut-être à côté de la plaque mais c’est mon ressenti.
Mon personnage s'efforce de trouver un emploi. Tout ce qu'on lui propose, ce sont des postes de vendeur, ce qui ne correspond pas à son profil, se dédiant à la sécurité informatique ou au travail de vigile. Ces profils n’intéressent personne car investir, pour des entreprises exsangues, n'est pas rentable par rapport au service rendu.
Que faire pour valoriser ces filières et, globalement, l'économie ? Rares sont les entreprises ouvertes et c'est pénible. Je pense que la fouille engendre un déséquilibre : une petite pépite équivaut à plus de 80 minutes de travail en entreprise, à 6 cartouches par minute, une grosse et c'est quatre heures !
C'est le modèle économique : je fouille et j'ouvre mon entreprise. Cela ne rime à rien. Ni clients ni embauches pour la plupart.
Plutôt que de constituer un troupeau de zombies grattant en talons aiguilles (depuis le temps qu'il creuse, il devrait y avoir un cratère), ne serait-il pas plus judicieux, et gratifiant, de soutenir des entreprises en déroute ?
En sponsorisant un emploi créé : 2 cartouches à la charge de l'employeur plus une aide de 4 cartouches pour aboutir à un salaire de 6 cartouches (par exemple). Cela permettrait de recruter, de générer des consommateurs, d'offrir des perspectives professionnelles (autre que la vente et la fouille) et de profiter de boutiques ouvertes plus souvent.
On pourrait imaginer la mise en veille aléatoire des caméras et des digicodes des entreprises, si aucun technicien n'officie, et le vol d'un pourcentage de la recette (ou la perte de stocks) si aucun vigile n'est présent. Nous sommes censés évoluer dans un monde où l’insécurité règne. Les postes liés à la sécurité ne devraient pas être des options mais des obligations.
Il existe trop d’entreprises : 33 pour une population de 56 à ce jour ! Hormis deux entreprises (une verse 5.700 et la seconde 16.000), la masse salariale des 31 autres est inférieure à 2.700 cartouches par jour, soit 11 heures de travail rémunérée à 4 cartouches ! Donc quasiment zéro emploi ! De surcroit, certains chefs d'entreprise en sont réduits à fouiller pour assumer les rémunérations de leurs collaborateurs.
Une boutique de chaque suffirait largement, pour un total d'une dizaine au maximum. Il faut rationaliser et ne pas faire de la détention d'une entreprise un caprice. Il s'agit de la jouer collectif et dans le sens du jeu. Des licences devraient être remises, pour trois mois par exemple, avec une obligation d'implication (ouverture, chiffre d'affaires, création d'emplois) sous peine de fermeture et de redistribution de la licence. Ceci induirait des chefs d’entreprise investis et méritants.
Il faut que chacun accepte de sortir de sa zone de confort. Je n’ai pas vraiment l’impression d’évoluer dans un jeu de rôle conventionnel, mais plutôt dans une bulle où se rencontrent des gens qui se connaissent depuis longtemps et qui s’aiment bien, avec leurs us et coutumes et leurs habitudes. Je suis peut-être à côté de la plaque mais c’est mon ressenti.